L'anneau reforgé (en cours de redaction)

Un millier d'années se sont ecoulées depuis la destruction de l'anneau maléfique et la chute de Saruman. La terre du milieu est enfin repeuplée, les foret reboisées et la paix regne enfin. L'Alliance des Naims, des Elfes et des Hommes est à sont apogée et l'evolution a pris son cours. Les anciennes puissances magiques se dissipent peu à peu devant les technologies scientifique qui sont de plus en plus courante et plus facilement accessibles à chacun. Les cités de Minas tirith, du Rohan et de la Moria ont été rebattis et s'agrandissent dans le respect des architectures et du savoir faire de chacun. Les orcs et les barbares restant se sont dissipés et éloignés, mais le mordor et ses terres inhospitalières ont été laissées a l'abandon une nouvelle fois et nombreux sont ceux qui s'y sont regroupé. Nombreux, mais bien trop peu devant la toute nouvelle puissance de l'Alliance.

Un messager du Gondor chevauchait à grande allure les plaines d'Osgiliath pour arriver au pied des contreforts de Minas Tirith, la capitale du Gondor, qui s'imposait devant lui immense et magnifique. Taillée dans la montagne par la main des hommes de l'ancien temps elle paraissait toujours aussi majestueuse. Il traversa les grandes portes de la capitale sous lesquelles des centaines de paysans et de commercants se croisaient dans un flot inscessant. Puis il monta au galop les ruelles de la cité pour arriver enfin au sommet à la rencontre du Seigneur Aragorn afin de l'informer des nouvelles des derniers groupes de resistants Orcs et barbares.

Aragorn était encore en vie et gouvernait toujours le Gondor. Apres son union sacrée avec Arwen, fille du seigneur Elrond, de la cité des Elfes "Foncombe", il avait obtenu les faveurs de ceux ci qui lui offrirent le don de la vie éternel, celui qui donne de nature une vie incroyablement longue à tout Elfes.

Le Seigneur invita le messager d'un signe du bras à prendre une collation avec lui tout en le questionnant sur les nouvelles. Ce dernier lui repondit en s'attablant.

Le messager:
- Les derniers orcs battent en retraite au delà des terres du Mordor Mon Seigneur. La plupart se regroupent vers l'océan, loin de notre portée.

Aragorn:
- Et qu'en est il du Mordor?

Le messager:
- Les troupes ont quitté la terre inhospitalière du Mordor pour repousser la vermine Orcs. Elle est invivables avec ses marecages puants et ses terres arrides, steriles et devastées. Personne ne supporte ce lieu de malheur.

Aragorn:
- Nous ne devons pas reproduire les erreurs du passé, ces terres doivent etre surveillées constamment.

Le messager:
- Pour ca, il nous faudrait plus d'hommes!

Aragorn:
- Dites au Capitaine de se debrouiller pour l'instant, nous ne pouvons pas laisser le peuple sans defense contre les barbares et autre mercenaires qui rodent sur nos terres.

Aragorn:
- Y a t-il autre chose?

Le messager:
- Oui Mon Seigneur! Au cours de notre campagne, certaine de nos troupes se sont faite malmener par des groupes orcs bien organisés et bien armés.

Aragorn:
- Des combattants Urukai?

Le messager:
- Non, ceux ci portaient des armures bien plus évoluées, à la fois souple et rigide avec des baniéres rouge sang que nous n'avions encore jamais vu. Ces équipements ne sont pas réalisable dans un de leur vulgaire campement et cela inquiete le Capitaine.

Aragorn:
- Les orcs ont donc de nouvelles ressources, reste à savoir d'où elles proviennent. Tenez moi informé de l'evolution de la situation et dites au Capitaine de patienter pour les renforts, les nouvelles recrues ne sont pas encore formées.

Le messager:
- Bien Mon Seigneur!

Le messager remonta immediatement sur son cheval et se mit en route afin d'atteindre Osgiliath avant la nuit pour informer le Capitaine.

Par une journée ensoleillée, Le capitaine Loup des étoiles, appelé plus communement "Le Loup", se mit en route pour rejoindre les troupes postées au port de theramore afin d'enqueter sur les derniers incidents.

La route était longue et un arret dans la ville boisée de Dalaran fut bien apprecié. La ville se trouvait à la lisiére du Mordor et à mi chemin du port depuis Osgiliath.
Elle était dirigé par Sinaiel, envoyée de Foncombe, la cité des Elfes, pour surveiller la region des steppes ardentes du Mordor apres la destruction de l'Anneau unique.

Le loup expliqua les raisons de sa venue à Sinaiel.

Le Loup:
- Je vien d'Osgiliath et je fait route vers le port. On m'a signalé de nouveaux groupes d'Orcs dans la région. J'y vais pour enqueter sur cette étrange recrudescence.

Sinaiel:
- Pour ma part, les échanges avec Theramore deviennent de plus en plus rare. Y aller sans une bonne escorte, represente un risque considerable depuis quelques mois. Il serait preferable d'en connaitre la cause!

- Je prend la route dés demain au levé du soleil et je vous suggere de faire une reconnaissance dans le Mordor.

- Ce sera fait, nous prendrons le départ pour les Steppes ardentes immediatement apres vous.

Tandis que Le Loup était en route pour Théramore, Sinaiel approchait la lisiere du Mordor. Bientot, la forêt se dissipait pour laisser place aux hautes herbes et aux buissons secs. Aprés quelques heures de route, les Steppes s'étendaient enfin devant elle. Un ciel rougeoyant eclairait une mére de roche et de cailloux pointant vers le ciel et coupant comme des milliers de lame affutées.

D'un pas d'Elfe, Sinaiel est son groupe avancaient avec legerté sans grande difficulté à travers les paysages désolés avant de s'arreter pour passer la nuit et reprendre la route au matin. Leurs vision développée leur permetait d'explorer sur de grandes distances et notament d'apercevoir au loin sous le soleil ecrasant du midi, Desolace, surnomée "les sombres rochers".

Dans la soirée, le groupe arriva au pied des sombres rochers. La lune était absente et la nuit était froide et noire. Le vent traversait Désolace en transportant des odeurs puantes et désagréable de pourriture et autres. Ce qui n'était pas pour plaire à l'odorat pointu et raffiné de nos amis Elfes.

Apres deux jours de marche le Loup entrait sur les terres de Théramore. Theramore, ville peuplé majoritairement par les hommes et constituée d'un port ou le commerce du poisson fait recette. Une flotte immense ainsi que le donjon de Théramore, du haut de la falaise, surplombant le port, assuraient la protection de la forteresse cotiére.

Le Loup:
- Il nous reste moin d'une journée de marche, en route.

Soldat:
- Seigneur, J'ai senti comme une impression d'etre éppié cette nuit.

- Moi aussi, mais nous ne devons pas nous attarder, je veut entendre le compte rendu du commandant de Theramore avant toutes autre action de notre part. Nous eclaircirons cette affaire une fois ravitaillés.

La route se poursuivit sans encombre jusque la forteresse.

Réveillés au petit matin par les cri strident de charognard, le groupe de Sinaiel se préparait déjà au depart aprés une courte restauration.

- Soldat! S'ecria Sinaiel.

- Nous traverserons Désolace en ligne droite jusque la tagniere du vorace. J'espere l'atteindre au midi afin de rentrer à la nuit tombée. Cela fait longtemp que nous n'avons plus mit les pied en ces lieux, alors je vous demanderait d'etre extremement prudent.

Puis le groupe se mit en route et s'engouffra dans Désolace. Ils se déplacaient rapidement et surmontaient les obstacles un à un avec une grande agilité. Le ciel s'assombrissait au fur et à mesure qu'ils avancaient, de petites bestioles répugnantes fuyaient à leur approche et l'humidité poisseuse de l'air traversait les armures et devenait insupportable. Enfin, ils arrivèrent devant l'entrée de la tagniere.

- Deux éclaireurs à l'entrée, et le reste avec moi! Ordonna Sinaiel.

Le groupe disparaissait dans la sombre grotte tandis que les deux soldat montait la garde.

Apres quelques minutes, l'un d'eux entendit de son oreille avertie, un bruit dans les fourages. Il se leva pour aller constater et vit un petit humanoide brunatre s'éloigner à toutes vitesse. Surpris, le deuxieme garde alla à sa rencontre.

- Qu'est ce?

- Je ne sais pas, on aurait dit un gobelin!

- Un gobelin! Peut etre un éclaireur. Nous devrions le retrouver avant qu'il ne previenne ses petits copains. Allons y!

Le gobelin reapparut soudainement et diparaissa de nouveau dans une autre direction.

- Ca sent le mauvais coup, faisons demi tour et prevenons Sinaiel!

- Tu as raison, vite!

En se retournant, des cri strident de toute part naissaient et des centaines de petits yeux les regardaient. Une énorme main s'abatti sur l'un des garde tandit que l'autre s'esquiva et tribucha dans son élan. Térrorisé, il brandissa son arc et tira de nombreuses fleches en direction de l'enorme masse. Un gobelin, muni d'une petite lame, se glissa sournoisement deriere lui et mit fin à ses ardeurs.

Le groupe remonta bredouille de son exploration mais découvrit la disparition des deux gardes. Sinaiel tenda l'oreille. Un grondement se faisait entendre et elle apercevait de petites ombres de tout cotés.

Sinaiel:
- Preparez vous à combattre, ce sont des gobelins!

Une pluie de fleches s'abattit sur Le groupe, et la dispertion fut immediate. Les Elfes repliquaient de maniere vive à raison d'une fleche par gobelin mais le carquois fut vite à sec et vite remplacé par le sabre. Sans grande difficulté, ils exterminaient chaque gobelin qui se cachait dans les fourrages avec rapidité et precision et evitaient aisement leur projectiles. Tandis que les dernier gobelin s'enfuyaient, Sinaiel fit rappeler sa troupe.

Sinaiel:
- Pisteur! Cherchez des traces de nos amis perdu. Une sentinelle vous accompagnera. Deux eclaireur en avant et le reste du groupe au ravitaillement. Pressez vous, nous n'avons pas toute la journée.

Apres un court moment.

Pisteur:
- Il y a du sang ainsi que des traces de pas qui s'enfonse de ce coté. Les traces sont de grande taille et profonde. Surement des voraces!

Sinaiel:
- Apparement, la puissance de tir de nos amis n'etait pas suffisante, vu les fleches brisées à terre.

- Oui. Je n'en compte qu'un actuellement, et il doit etre accompagné de gobelin. Ceux ci se charge certainnement de lui trouver son repas!

- En route!

Toujour sur les traces de ses amis, la troupe avancait discretement. Sinaiel s'arreta brusquement et tendit l'oreille. Elle entendait la respiration rauque et forte de la bete.

Tandis qu'ils se preparaient à surprendre le vorace, un gobelin apparut soudainement et se mit à crier en les voyant. Sinaiel se retourna avec la plus grande vivacité et decocha une fleche qui transperca le gobelin de part en part en une fraction de seconde. Alerté, l'enorme bete gémissa monstrueusement et se jeta sur le groupe avec une grande ferocité. Ses enormes bras balayaient tout sur leur passage et des gobelin surgissaient de toutes part.

Alors que leur force s'épuisait, Sinaiel redoublait d'effort pour transpercer la peau du vorace qui etait aussi dur que l'ecorce d'un arbre.
Celui ci reussit à l'attraper par le pied et la projetta de toutes ses forces contre un rocher. Elle s'effondra au pied du rocher et la fin des derniers survivants se fit sentir.

Soudainement, une lumiere intense jaillit du corp de Sinaiel et elle repris connaissance. Elle ressentait une grande vigueur en elle. Elle se tourna alors vers le monstre et vit un grand cheval, equipé d'une armure de plaque scintillante, se dresser au dos du vorace. Elle apercevait un grand guerrier qui le montait tenant une enorme masse au bout de sa mains. celle ci alla s'ecraser sur la tete du vorace en dégageant une intense lumiere lors de l'impacte. Le vorace etait assomé mais tenait malgrés tout sur ces pattes. L'étrange cavalier pris alors une lance de son autre main et lui transperca violement le crane. La bete oscilla un instant avant de s'effondrer brutalement. Le reste des gobelin disparut alors.

Sinaiel:
- Qui est cette personne envers qui j'ai une dette à present?

Papousys:
- Je suis le Seigneur Papousys!... Paladin errant dans les terres obscure à la recherche toute forme agressive et au secours de brave guerrier comme vous.

Sinaiel:
- Je suis flatté, mais tout l'honneur vous revient.

Papousys:
- Ce n'est que mon devoir, rien de plus!

Sinaiel:
- Certe, Je suis la Pretresse Elfique Sinaiel de Dalaran et je pense que nous avons le meme but. Nous ferez vous l'honneur de votre compagnie Paladin?

Papousys:
- Je ne suis pas contre la compagnie, surtout par des êtres aussi raffinés que les Elfes!

Le Loup se réveillait progressivement de sa charmante nuit consommée dans les quartiers du donjon de Théramore. Il se levit et s'approcha du balcon pour admirer le levé du soleil qui se refletait sur la mer. L'air était frais et vivifiant du haut de la grande tour batti sur la falaise et en baissant le regard, il appercevait le port déjà en activité ou un tas de monde s'agitait telle une fourmiliere.

Quel bonneur d'etre ici apres un si long voyage se dit il. Puis il prepara son pactage et se rendit sur les quais en descendant les nombreuses marche qui longeaient la falaise.

Le Loup:
- Bonjour Commandant, je vient enqueter sur les regroupements hostiles de la région. Quelles sont les nouvelles depuis votre precedent message?

Commandant de Théramore:
- Bonjour Capitaine, les hostilités continuent malheureusement. Dernierement, plusieur de nos troupes ont été prise en embuscade lors de reconnaissances sur la baie du Mordor. Les caravanes venant de Dalaran qui traversent la forêt sont réguliérement attaquées par des trolls et des navires marchand manquent à l'appel. La situation s'agrave, il est temp de reagir.

Le Loup:
- Je comprend. Doublez les patrouilles sur la route de Dalaran car nous ne pouvons pas fouiller l'immense forêt alentour. Les trolls n'ont pas de pied à terre et il serait trop long de les chercher.

Commandant de Théramore:
- Bien Capitaine, mais que ferait vous alors?

Le Loup:
- Donnez moi deux troupes supplementaire et j'irai en direction de la baie du Mordor. Si ce sont bien des orcs, il doit exister un campement. Nous partirons à sa recherche dés aujourd'hui et nous attaquerons dés sa découverte.

Ainsi le Loup se mit en marche pour la baie du Mordor. Du haut de sa monture, il devancait les troupes composées de cent hommes d'Osgiliath et cent hommes de l'armée de Theramore.

Une caravane se dirigeait depuis Theramore vers Dalaran. Composée de trois chariots tirés par des Boeufs, elle était escortée par quelques sentinelles armées et se déplacait à faible allure.

Soudain, le chariot de tete s'arreta. Un cadavre de Gortusk* gisait à terre. Celui ci venait de se faire étripé et le depecage était déjà entamé. Ce signe indiquait que quelqu'un venait certainnement de passer par ici recemment. Sans doute ont-il fuit à l'arrivé de la caravane.

L'homme de tête alla examiner le corp. En s'approchant, il entendit un bruit de branchage qui se brisait. Celui ci ce tourna et vit une tres grande silhouette de couleur verdatre se diriger vers lui avec un cimeterre à la main, prét à frapper.




* Sorte de sanglier